Kaori T. Maeda

I; GENERAL INFOS.

Nom & Prénom; Kaori Takano Maeda.
Âge; 14 ans.
Date de Naissance; 1931.
Groupe; Kage Boushi.
Voice; Matsuoka Yuki


II; OTHER;

Pouvoirs ; Ombres & Ténèbres + Peut prendre mentalement le contrôle d'une personne afin de lui affliger diffèrentes blessures qu'elle ressent également. Elle ne peut pas tuer la personne au risque de mourrir également et elle ne doit pas utiliser son pouvoir trop souvent ni trop longtemps sous peine de s'évanouir en saignant du nez.
Fonction ; Mercenaire.
Relation avec les autres Dynasties ; C'est simple, étant une Kage Boushi, Kaori est en guerre avec les autres Dynasties. Même si elle ne le montre pas, elle voue une haine profonde envers les autres Dynasties.


IV; HJ.

Prénom ou Pseudo ; Salomé alias Bubuhw or Saa' !
Comment trouvez-vous Almia ? Bien, sinon je serais pas dessus.
Comment avez-vous découvert Almia ? Babahw est mon amie. <3
Code du Réglement ; CODE BON BY MISAKI 8D

III; RP.

I - L'injustice existe vraiment.
- Je préfére mourire. Endurer cette vie m'est insupportable !! Vous pouvez tous crever ...

Elle s'en souvient comme si c'était hier. Décembre 1931, dans l'un des nombreux Laboratoires du Japon. Une petite fille est cloîtrée dans une petite salle blanche. Cette salle est vide, il n'y a pas de lit, pas de chaise ni de télévision. Non, elle est entièrement vide et ceci pour cause de sécurité. Toutes les cellules du Laboratoire sont les mêmes. Blanches, petites et vides. Tous les enfants se trouvant en cellule sont juger comme étant dangereux pour la socièté. Alors, le gouvernement à décider de faire enfermer ces enfants afin de les exploiter. A présent, ce ne sont plus vraiment des enfants. Ce sont des armes vivant uniquement dans le but de servir le gouvernement. Dénoués de tout sentiment, constamment sous pression. L'esprit vide, les yeux vides. Ils se contentent d'executer les ordres qui leurs sont donnés afin de ne pas se faire réprimander. Car oui, lorsqu'un enfant ose désobeir, un homme en blouse blanche l'emmène dans une salle. Et toute la nuit, des cries d'enfant se font entendre. La voix d'un adulte entrain de rire en hurlant des injures sur l'enfant se fait aussi entendre. Les rires se mélangent aux pleures, le calvère dure toute la nuit. L'enfant ressort de la pièce la matinée, couvert d'étranges blessures et généralement défiguré. On ne sait pas ce qu'il se passe, a chaque fois. Mais en regardant attentivement les enfants meurtris, on peut comprendre facilement. C'était le cas de Kaori Maeda. Experience 654 du Laboratoire d'Hinamizawa. Hinamizawa était un petit village à l'Ouest du Japon. Comment pourrais-je décrire ce village ? Avant que la seconde guerre mondial n'éclate, Hinamizawa était déjà dans un piteuse état. Sequelles provenant de la première guerre mondial. Certaines maisons étaient en ruine, les familles n'osaient plus sortir de chez eux et l'atmosphère était horriblement pesante. Tout les jours, des Bombes pleuvaient sur le village. Le couvrant d'un immense nuage noir tandis que des flammes dansaient joyeusement tout en brulant les restes du village. Il n'y avait qu'un seul batiment capable de résister à tout ça. Un batiment cacher de tous, enfouit sous terre. Ce batiment était un Laboratoire. Le seul qu'Hinamizawa n'est jamais fondé. Il était gigantesque. L'extérieur était gris métalisé et l'intérieur était blanc. L'endroit était vraiment laid. En tous cas, c'est ce que penser l'experience 654. Pour elle, le Laboratoire était ... :

>> Un endroit inqualifiable remplis des pires ordures que le monde est connue et que je hais plus que tout. Cet endroit crèvera un beau jour d'Hiver.

Oui, pour l'experience 654, le Laboratoire devait crever car elle le détestait. Mais interressont-nous de plus près à Kaori. Sa fiche était plutôt complète, elle contenait des informations plus ou moins confidentiels à son sujet. Il était écrit :

Projet numéro : 654.
Achevé le : 14.12.31.
Facultés intellectuels : Inconnu, s'oppose à faire les Test. Est supposément surdouée, comme la plupart des projets.
Facultés mentals : Contrôle des corps.
Maladie(s) : Shizophrène, Agoraphobe & Claustrophobe.
Notes du Docteur Matsuoka : "Projet peu interressant ayant beaucoup de défauts. L'adaptation ainsi que la soumission laisse à désirer. Points plus ou moins capitaux à lui apprendre dans les plus brefs délais au risque de devoir s'en débarrasser."

Voilà comment était décrit le projet 654. Evidemment, il n'y aurait pas vraiment d'histoire si Kaori aurait appris ces points plus ou moins capitaux. L'adaptation ... Kaori n'y arrivait pas. A chaque fois qu'un scientifique entrer dans sa cellule, celle-ci hurlait à pleins poumons tout en se crispant, allonger par terre. Pour la calmer, nombreux produits lui fur injecter. Il fut décider qu'elle serait en chaise roulante. Ses mains et ses pieds fermement attachés, un bandeau sur les yeux. Le bandeau sur les yeux était pour protéger les scientifiques s'occupant de Kaori. Car c'est avec un simple coup d'oeil qu'elle peut rentrer dans les esprits. Ce don, elle l'a depuis qu'elle vis. Depuis maintenant quatorze ans.

>> So ... Experience 654, explique-moi un peu pourquoi tu n'aimes pas le Laboratoire.

>> ...

>> 654, réponds !

>> Ka-o-ri Ta-ka-no Ma-e-da. Avait-elle répondu tandis que sa tête se balancait d'avant en arrière. Cette scientifique l'ennuyait. Tout les jours, c'était la même chose. Elle entrer dans la pièce sans dire mot pour ensuite bombarder Kaori de question en l'appelant 654. Elle n'aimait pas ça, mais alors pas du tout !

>> Excuse-moi ?

>> J'ai un nom. Moi, je ne serais jamais votre objet et encore moins votre arme. Ne pensais pas pouvoir m'aprivoiser comme si j'étais un animal. Je vous hais, tous autant que vous êtes. Vous me dégoutez. Vous et votre gouvernement vous êtes décidemment, de très jolis merdes. Peut-être accepteriez-vous de jouer avec moi un jour ... Vos organes seraient si jolis en ma compagnie.

>> Modère tes propos, veux-tu ? La salle 571 est libre, tu sais.

>> ... Espèce de petite salope ... Ha ha ... Ha ha ha ha ha ha ha ha ha ... A présent, elle riait. Son rire était toujours emplie de haine. Cette même haine se transformer en sadisme qui lui donner une envie folle de tuer, torturer et rire de ses meurtres.

>> Ca suffit. Tes caprices m'insupportent. Le Docteur se fera un plaisir de te corriger.

>> Owh, génial. Torture suivit d'une mort douloureuse, que rêver de mieux ? Après tout, je ne vais pas pouvoir me défendre moi qui suis 'infirme' ! C'était vrai, elle était toujours dans ce satané fauteil. Ce bandeau toujours sur les yeux.

>> 654, tais-toi ! Ces paroles furent accompagné d'un geste que Kaori ne pu prévoir. La jeune Scientifique vint gifler Kaori. Celle-ci s'en souviendra toute sa vie. Car se geste fut celui de sa demi-libération. En effet, le choc fut si violent que le bandeau retomba sur le cou de Kaori. Ses yeux dévoilés, Kaori souriat de toutes ses dents blanches éclatantes et parfaitement alignées.

>> HA HA ! Crève, Salope. CREVE !

Un coup d'oeil. Il lui faut juste un coup d'oeil pour entrer dans la peau des gens. Son don a beau être rapide, c'est bien le seul avantage. Pendant des années, le Laboratoire à tout fait pour que Kaori rapproche son don de la perfection. De nombreux innocents ont étaient gravement blessés suite aux lésions produite par Kaori. Son don n'est pas parfait. Lorsqu'elle rentre dans le corps de sa victime, Kaori la contrôle entièrement. Aussi bien ses pensées que ses gestes. Du coup, elle s'inflige des blessures plus ou moins importantes avant de retourner dans son corps. Toutes les blessures commises, Kaori les ressent tant qu'elle reste dans le corps de sa victime. Une fois de retour dans son propre corps, il lui faut beaucoup de temps pour reprendre des forces. Ca la vide complétement. C'est ainsi que ça s'est passé, lorsqu'elle est entrée dans le corps de la scientifique. Evidemment, la salle étant vide, Kaori fit sortir le corps de sa cellule. Cherchant un objet plus ou moins coupant.

>> ... Uh uh uh uh uh uh ... Je t'ai trouvée ... <3 S'eclamat-elle avant de courire vers le verre brisé qui traînait par là. Peut-être un enfant en pleine crise avait casser une vitre. En tout cas, le sang qui coulait à côté des morceaux de verre était ... mignon ? Oui, c'est ça. Kaori ne pu s'empecher d'y goûter, cette odeur, cette saveur ... c'était tellement bon. Exquis, c'était bien le mot. Mais passons sur ce petit détail, nee ? Je vous laisse imaginer, Kaori prenant soignement le bout de verre dans ses mains. Le bout de verre est fin, tranchant et couvert d'un sang inconnu. L'objet se rapproche dangereusement du délicat poignet de la scientifique. Doucement, le bout de verre commence une incision au niveau des jolies petites veines bleuâtres de la scientifique. Mentalement, elle hurle. C'est douloureux, très douloureux. La scarification n'a jamais fait de bien, logique, non ? Les veines se tendent et se détendent au fur et à mesure que le bout de verre coupe encore et encore ces jolies filets bleus. Maintenant, le temps presse. Il faut sortir du corps et vite ! La petite se précipita donc dans sa cellule, le corps de la scientifique devenant de plus en plus lourd et chiant comme elle le disait si bien. Pour pénétrer dans son corps, Kaori doit coller son front contre celui de son corps tout en disant "Atashi wa ... anata no Tenshi. Maeda ... Takano ... Kaori ..." Et le tour est joué. Après tout, qui a dit que les dons étaient compliqués ? 'Suffit de connaître le truc et c'est tout bon. Avant d'avoir coller son front contre celui de son corps, Kaori s'était auto-détachée. Histoire d'achever son crime une fois qu'elle serait revenue dans son corps. C'était bon, elle était de nouveau dans son corps. Très affaiblie, certes. Mais elle y était. Elle se leva difficilement, prenant appuit sur son fauteil avant de tenir debout lentement. Puis, tout aussi doucement, ses jambes se mirent à avancer en titubant. La scientifique était apparament sonnée, le sang avait l'air de la dégouté et ceci lui faisait perdre tout ses moyens. C'est pieds nues, que Kaori quitta sa cellule. Titubant, son regard vide fixant le sol gris.

>> Le sang ... Le beau sang ... Le sang de ma Maman ... Ce sang si beau s'écoulant ... doucement ...

Fredonnant cet air pas si sympathique que ça, Kaori prit la première arme se trouvant dans son champ de vision. Une batte ... de Baseball. Le massacre allait être beau. Piétinant le verre précédemment vue de ses pieds nues, c'est lentement que la petite regagna sa cellule. Les pieds couverts de sang, laissant de longues et jolies traces rouge sur le sol tout pas beau.

>> Aa, je vais te tuer ~. Ton sang si beau va venir s'étaler sur moi ~. Je suis si heureuse ... Aujourd'hui est le jour de ta mort, euh. Un jour d'Hiver si beau ~. Djaa ... Hajimemasho, yô ! ^-^

Son premier sourire, un sourire mignon et sadique. Un vrai sourire ... Un premier coup de batte se fit sentir, la scientifique hurlait. Ses os étaient en miettes, elle suffoquait. La mort l'appelait, la mort venait la prendre.

>> Crève ! Crève ! Crève ! ... CREEEEVE !

Des coups de batte, encore et encore. Le sang épousant le corps de Kaori dans une danse effrénée dans laquelle la pièce si blanche se faisait repeindre de rouge. Un rire sadique et joyeux sortait de la bouche de Kaori, s'en était finit avec la Scientifique. Son corps ne ressemblait plus à rien, elle était bel et bien morte dans d'attroces souffrances. Seulement, le bruit n'attira qu'une seule personne. Le Docteur Matsuoka se tenait debout, a l'entre-baillement de la cellule. Son visage n'affichait aucune trace de surprise ni d'effroi. Apparament, il s'y attendait ...

>> Ceci devait bien arriver un jour ... Quel dommage, au fond, je t'aimais bien, 654. Pourrais-tu me suivre, je te prie ? Nous avons une longue nuit devant nous.

Ces mots dit, il s'approcha. Poussant violamment Kaori sur son fauteuil tout en l'attachant, celle-ci ne témoignait aucun refus. Le docteur lui faisait peur, il l'effrayait. C'était lui qui emmenait les R3B3LL3 dans la salle 571. Eh oui, il s'en occupait. Et Kaori allait enfin connaître la même chose. Qu'allait-it lui faire ... ?

Le noir complet s'installa, un grincement provenant du fauteuil se fit entendre. Kaori se dirigeai vers la mort, son bandeau de nouveau sur les yeux ...

II - La salle 571, le monstre & l'agneau.
" Au secours ... Kami-sama, sauve-moi ... Sauve-moi !! "

Que croyez-vous ressentir lorsque vous pensez mourir ? Pensez-vous voir toute votre vie défiler devant vos yeux ? Pensez-vous au Paradis ? Aux Enfers ? A Dieu ? A Lucifer ? Pour ma part, Kaori n'a pas penser à sa vie ni au Paradis. Si Dieu existe, il n'aurait J-A-M-A-I-S tolérer un tel dégradement de situation au niveau des Gouvernements ect ... A présent, elle se trouver dans la salle 571. Elle tremblait de tous ses membres, le docteur n'était plus derrière elle, elle le sentait traverser la pièce qui ne semblait pas ... vide.

>> Je te rassure, nous ne sommes que tout les deux. Les autres ont compris la leçon, ils ne sont pas rebelles, eux.

>> ...

>> Bien, je t'explique le fonctionnement. Je vais te poser des questions, si tu ne me réponds pas je te giflerais. Si tu continues de t'opposer je te torturerais afin que tu comprennes que tu n'es pas la chef. Et si ça ne rentre toujours pas, qui sait ? Un punissement charnel peut-être ?

>> Vous n'oseriez tout de même pas ...

>> Et pourquoi pas ? Il y a longtemps que je fais ce procédé. Tout le monde y a eu droit. Vous vous prenez pour des rebelles ? Assumez-en les conséquences. Tu peux demander à cette chère Miyuki, elle y a eu droit plusieurs fois. Qu'elle adorable poupée elle fait.

>> Je me moque bien de Miyuki mais le viol est inacceptable. Pour qui vous prenez-vous ? Les enfants font monter votre Libido en flèche ? Uh uh, c'est pitoyable. VOUS êtes pitoyable, Docteur.

>> Venant d'un monstre je prends ça pour un compliment. Je suis supérieur à toi, sous-merde !

Comme quoi, les Docteurs ne sont pas toujours calmes. Celui-la perdait son calme plutôt facilement. Non, il ne l'avait pas gifler. Il lui avait donner un coup de poing dans le ventre, coup de poing puissant poussant Kaori a cracher du sang sur la blouse blanche psychiatrique qu'elle portait. Ses longs cheveux violets légérement ondulait retomber devant elle, laissant ses cornes noirs si bizarres intactes. Ses cornes, elle les avaient depuis sa création. C'est en partie grâce à elle qu'elle arrivait à entrer dans le corps des gens. Les scientifiques ne savaient pas pourquoi, mais Kaori elle, en était sûr.

>> Comment osez-vous me traiter de sous-merde ?! Sale pédophile INSIGNIFIANT !

>> QUOI ?!

Si il y avait bien une chose que le Docteur Matsuoka détestait, c'était bel et bien le mot insignifiant. Pour lui, il était un Dieu. Ce personnage était remplie d'orgueil, et quiconque défier cet orgueil ... devez en subir les conséquences. Une gifle, deux gifles, trois, quatre et j'en passe. Mais elle encaissée, sans broncher. Si il y avait bien une chose qu'elle ne voulait pas montrer, c'était qu'elle souffrait. Oui, intérieurement, cette situation la faisait souffrir. Elle criait, suppliait Dieu corps & âmes qu'il arrête ces coups. Et il arrêta, apparament essouflé. Sa respiration était irrégulière, il en avait assez. Finit de jouer.

>> Tu m'agaces, monstre. Experience 654, crois-moi, tu t'en souviendras de cette nuit.

Oh oui, elle allait s'en souvenir. Cette nuit fut la pire de doute. Les cries que les autres enfants entendirent toute la nuit fut ceux de Kaori. Elle hurlait. Douleur, déséspoire, tristesse, colère, confusion. Tout ses sentiments se mélangaient en un tourbillon. Un tourbillon détruisant Kaori peu à peu, la tuant de l'intérieur à petit feu. Durant cette nuit, Dieu seul sait ce que la pauvre Kaori pu subir de la part du Docteur-Fou. Moi, je le sais. En guise de Torture, Kaori eu droit a la cire brulante de dizaine de bougies s'étalant sur tout son corps. Il était fou, vraiment fou. Honnêtement, qui ne l'est pas de nos jours ? Cette nuit lui parut interminable. Quand le soleil allait-il se lever ? Quand ces tortures allaient-elles cesser ? Elle ne le savait pas. Comment le savoir ? Le Bandeau était toujours sur ses yeux, elle ne voyait rien mais elle ressentait tout. Les coups, les attouchements et ... autres choses. Toutes ces choses si immondes qu'elle n'osait immaginer. Toutes ces choses venaient en elle, la Torture physique, la Torture mental. Elle n'en pouvait plus ... Cette nuit, cette douce nuit d'Hiver s'acheva sur un acte que je ne peux et que je ne saurais décrire. A vous de l'immaginer, ce n'est pas si compliquer à trouver.

Le noir s'installa une seconde fois, elle ne sentait plus rien. Le noir complet, où allait-elle encore tomber ... ?

III - Almia.
Boku wa ... Boku wa ... nani ... ? Nande ... Nande ?! Boku wa Kage Boushi ?! Jigoku, nee ?! Doshite !?

Kaori PV >> Aaaah ... Je suis où, là ? Ma tête me fait mal. Je me sens lourde, sale, souillée. Ce sale Docteur, est-il mort ? L'aies-je tué ? Ca m'étonnerai beaucoup mais, pourquoi suis-je dans un cimetière ? Je suis morte ? Peut-être. Il m'a battu a mort après m'avoir sali ? Pff, je ne suis même pas digne d'avoir une mort honorable. Non, je ne suis pas morte. Je ressens encore la douleur, une chose est sûre. Je suis loin du Laboratoire et je n'y remetterais pas les pieds. A moins qu'il ne soit ... brûler ? Oooh, quelle joie ! Dieu bénisse celle ou celui qui a mis un terme aux souffrances de tout les pensionnaires ! Que Dieu bénisse cette personne !!

Voilà les premières pensées que Kaori eu lors de son arrivée sur Almia. Comment était-elle arrivée ? Elle ne le savait pas. Elle pensait être morte, mais non. Elle était simplement tombée dans le coma et c'était retrouver dans un des cimetières d'Almia. Qui ? Pourquoi ? Comment ? Quand ? Dans quel but ? Allait-elle encore servir de jouet ? Ce serait étonnant, sauf si les morts comptaient revenir à la vie pour s'amuser un peu et retourner six pieds sous-terre ensuite. Doucement, elle avait relever le haut de son corps, de sorte à se retrouver assise, dans la boue. Il pleuvait. Ses côtes lui faisaient mal. Elles devaient être cassées. L'avait-il frapper dans les côtés ? Elle ne s'en souvenait plus. Tout était flou, tant mieux pour elle. Après tout, qui souhaiterais se remémorer cette nuit d'horreur ? Se sauver ? Courir ? Hurler ? Elle ne savait plus quoi faire. Le cimetière la terroriser. Elle n'avait personne a qui parler. A vrai dire, Kaori a toujours était seule. Le terme 'amie' ne lui dit rien. Elle ne sait pas ce que c'est. Durant quatorze longues années, la seule chose que Kaori fut dans sa longue et misérable vie fut pour le Laboratoire. Toute sa vie se résumer en un seul et même mot. Laboratoire. Cet endroit qu'elle maudissait depuis son arrivé était enfin loin d'elle ? Alors pourquoi se sentait-elle si triste ? Elle ne le savait pas. Ses larmes coulaient toutes seules sans aucune raison précise. C'était ... ça ? C'était ça, être libre ? Des larmes de joies ? De tristesse ? De colère ? Les trois. La joie d'être loin de tout. La tristesse de n'avoir personne. La colère de ne pas savoir où aller ni que faire.

>> Hey, sous-merde, pourquoi tu chiales ?

Hein ? C'était qui, ça ? Qui oser la traiter de sous-merde ? Elle chiale et alors ? Elle releva doucement la tête, les yeux rouge. La personne se tenant devant elle était intimidante, impressionnante et effrayante.

>> J'chiale si j'veux. J'peux savoir pour qui vous vous prenez ? Je ne suis pas une sous-merde ! Je suis ... Je suis ...

>> Tu es l'Experience 654.

>> ... ?!

Quand ? Comment ? Pourquoi ? Comment pouvait-elle savoir ça ? Une envoyée du Laboratoire ? Il n'était donc pas détruit ? Impossible ... !

>> Ne t'inquiète pas. Ton stupide petit Laboratoire est actuellement en cendres. Morts, ils sont tous morts. Du moins, c'est ce qu'il m'a dit.

>> ... Il ?

>> Ouaip, celui qu'a dit qu't'allais servir à notre Déesse.

>> Votre ... Déesse ?

>> Byakuya-sama est la Déesse des Enfers. Bienvenue en Enfer ! ^^

>> ... Quelle connerie ... Je dors, c'est ça ? Et quand je vais me rêveiller, je serais encore dans ma cellule. Comme toujours ...

>> T'aurais pas mal si tu rêvais, idiote. Quoiqu'il en soit, je suis charger de te former et de tout t'expliquer. Je m'appelle Hizumi.

>> Maeda ... Takano ... Kaori.

>> M'ouais, y'a du boulot. Mais tu feras une bonne Mercenaire, je pense.

Et il disait vrai. Sous ces apparences un peu intimidantes, Hizumi était charmant. Pour Kaori, c'était son idol. Son grand-frère. Se bonheur aurait pu continuer. S'entraîner avec Hizumi, manger avec Hizumi, tuer avec Hizumi ect ... Un vrai bonheur. Jamais elle n'avait était aussi heureuse de toute sa vie, c'était bien la première fois. Durant six mois, Hizumi lui enseigna tout. Comment se maîtriser, qui était leurs ennemies, quelles Dynasties étaient dangereuses, comment se battre, ect. Six mois passèrent, beaucoup trop vide au goût de Kaori. Il devait s'en aller, la guerre l'appelait mais il n'allait jamais revenir. Il vouerait sa vie a la bataille et il savait qu'il allait être tuer. C'était trop tard, il était mort. A la seconde où il quitta le Kage Boushi, Hizumi était mort. On ignore comment et pourquoi mais il avait bel et bien quitter les enfers. Cela l'avait détruite, la pauvre. Elle juera qu'elle ferait tout pour venger son 'frêre' les autres Dynasties devaient payer ... Aujourd'hui encore, Kaori vit dans les Enfers et s'entraîne entant que mercenaire. Sa vie n'a pas vraiment changer, elle reste enjouée malgrès tout. Après tout, le véritable enfer, c'était bel et bien le Laboratoire ...

Hanyuuuu ! *p* Babahhhhw ! =DD
J'aime le perso pour le moment ;D (Et ça m'étonnerait que ça change par la suite. ^^ )

Bienvenue sur Almia !

VALIDAGE SPOTTED 8D

Bienvenuue à Kaori Sur Almia. x3 (L)

Merci Babahw ! *__*
(L)