III; RP.
« Un si beau feu, dommage que je n’ai pu garder quelqu’un. » C’était cette phrase qui avait été lancée pendant un hiver de 1931, devant de la fumée qui sortait de terre. C’était un personne de taille moyenne qui l’avait dîte, ressemblant à quelque qui n’avait que 16 ans et à l’identique d’un scientifique avec sa blouse blanche. Une explosion et tout a été effacé, l’inconnu avec. Comment tout ça a pu arriver ? Remontant quelque heure avant, pas beaucoup, juste 5 heures et 36 minutes.
A ce moment là, l’inconnu était toujours là, suivant pas à pas une scientifique légèrement plus grande. L’endroit était si laid, infect et les cris ne cessaient de retentir à travers les laboratoires, ce qui ne semblait gêner personne. Qui ça gênerait ? C’était si normal d’entendre ça ? De plus, ces cris venaient de jeunes enfants et c’était inhumain de laisser faire ça ! Mais c’était normal ici, ce n’était que les cris des sujets d’expériences « donnés » par l’état. Enfin, c’est ce qu’expliquait la scientifique citée plus tôt. Ils croisèrent des flaques de sangs devant une porte, la porte N°571. C’était de là qui provenaient la majeure partie des cris, la nuit tombée bien sûr.
« Mlle, si ça vous dérange tant de venir ici, pourquoi venir voir le travaille de votre collègue ? »
« Si personne ne vient, il ferrait pire. Et je veux que mes sujets à moi soit intact ! »
La jeune femme venait d’hurlée en ouvrant la porte, dévoilant alors un collègue qui nettoyait ses instruments couvert de sang. Le plus jeune, celui qui suivait la savante souriait presque à pleine dents. Ça l’amusait tellement de voir ce sang luire sur les instruments, mais ce qu’il l’amusait tout autant, c’était de voir comment la personne qui s’occupait de cette pièce ce faisait dominer par la savante qu’il suivait. Ça n’a duré quelque minute pour que l’inconnu s’incline devant la savante et quelque celle-ci sortait de la salle N°571. Déclarant à l’inconnu du début :
« Viens Yoshi, j’ai du travaille à faire…et toi aussi.»
« Bien, Mademoiselle Matsuoka… Bonne journée, Monsieur Matsuoka. » Disait Yoshizumi, expérience dîtes « ratée » et donné à la scientifique. Il disait ça à l’occupant de la pièce 571 et referma la porte derrière lui.
(2 heures et 10 minutes avant explosion.) Malgré le lieu infect, les scientifiques avaient droit à un grand confort, un confort qu’ils profitaient bien. Dans l’une des chambres, Yoshizumi était là, assit sur une chaise à écouter un peu de musique et lisant un dossier. Il avait l’air d’un gamin qui lisait son livre préféré. Ce dossier, c’était le sien ; le dossier du sujet 82. Un sujet qui été l’un des premiers résultats d’un laboratoire plus au nord dans le pays, le japon. Ce même sujet est décrit comme bon, ayant un pouvoir particulier mais avec des risques à les utiliser. Matsuoka s’approcha du sujet raté et l’embrasse le front en tenant un verre presque vide. Yoshizumi soupira en souriant, déposa son dossier sur la table et regarda la scientifique en levant légèrement ses lunettes. Oui, il avait l’air d’un enfant par moment. Pour lui suite, je ne mettrais pas de parole car (certain et certaine comprendront) c’était un « service intime ». Oui, Yoshi n’était qu’un objet pour la scientifique, l’aidant dans ses tests sur d’autres sujets et dans sa vie courante…ainsi qu’à trompée son mari. Ce n’était pas une expérience favorisée mais plutôt…docile. Il semblait avoir besoin de quelqu’un pour lui dire quoi faire. Autant tuer que d’autre chose.
Après avoir finit son service avec son protégé, la scientifique remit sa blouse blanche et alla voir un des sujets. Laissant le sujet 82 dormir un peu mais pas longtemps. Il se réveilla et regarda l’heure, il été tard et Matsuoka n’était pas revenu. Yoshizumi se leva et se rhabilla un peu lentement et, pour s’amusé, lança un stylo contre un mur en utilisant son pouvoir. Oui, il avait réussit à le cacher depuis qu’il a été crée et à sa propriétaire. Le stylo en question avait explosé au contact du mur, pas assez solide pour s’y planté apparemment.
Il était tard, les autres scientifiques devaient finir leurs travaux sans doute. « 82 » Marchait dans les couloirs, amusé de voir qu’il est vide pour une fois mais ça s’arrêta là. Il remarqua sa propriétaire sortir d’une pièce avec un autre sujet, une jeune fille pour une fois. Étrangement, le sujet était endormit et la scientifique rentra dans la pièce et sorti avec un morceau de verre. Un morceau bien rouge, un vrai plaisir à regarder pour Yoshizumi mais passons. Matsuoka se coupait les veines avec, « 82 » ne comprenait pas pourquoi elle se faisait ça mais la vue du poignet en sangs le fit sourire à pleine dents. Ce qui était encor plus étrange, c’est que la scientifique s’empressa d’apporter la jeune fille à sa cellule sur un fauteuil roulant, colla son front contre le sujet et s’écroula au sol.
Yoshi’ aurait voulu aller l’aider, mais le sujet se leva de son fauteuil assez difficilement et marcha en titubant. Il eu juste le temps d’aller se cacher ailleurs et regarda faire la jeune fille, le sourire aux lèvres. C’était devenu si rouge, le sol, le poignet de Matsuoka…et la batte que ramenait le sujet féminin au chantonnant une chanson peu banal. C’est là que le massacre commença. Après quelque parole inaudible de la part du sujet, elle frappa une fois la scientifique qui hurla comme elle pouvait. C’était magnifique, en un instant, la cellule blanche du sujet se peigna en rouge, celle-ci éclata de rire, un rire sadique et joyeux qui faisait plaisir à entendre pour Yoshizumi. Malheureusement pour le sujet féminin, M.Matsuoka arriva mais ne semblait pas surprit de voir ce qu’a fait, comment l’a-t’il appelée déjà ? Ah oui, 654. Il poussa violement cette 654 sur le fauteuil et l’attacha, elle ne semblait pas répliquée contre ce scientifique. Yoshizumi attendit que les deux personnes s’éloignèrent pour aller voir le cadavre de sa « Mlle. Matsuoka ». Mais il ne versa aucune larmes, bien au contraire, il souriait encor plus à la voir ainsi. Il alla même à goutter le sang qui coulait du poignet de la morte. Ceci fait, l’ancien assistant de la scientifique n’avait plus rien qui ne l’attacha ici.
(5 Minutes avant l’explosion) Le sujet 82 s’était amusé un peu en marchant dans les couloirs, utilisant son pouvoir sur chaque scientifique qu’il croisait, ainsi que sur les enfants qu’il voyait, malheureusement. Yoshi marchait, sa blouse tachetée de rouge venant de différentes personnes. Il n’était pas loin de la pièce centrale, une pièce qui renfermait la seul sorti du laboratoire. L’ex-assistant de la scientifique Matsuoka allait connaitre la liberté mais avant, il s’amusa à ouvrir les vannes de gaz. (1 Minute et 15 seconde avant l’explosion.) Yoshizumi était dehors, respirant à plein poumon de cette aire « frais ». Cette fois, tout était finit, M.Matsuoka torturait pour la dernière fois et plus aucun sujets n’aurait à subir des expériences. Le sujet 82 jeta alors une allumette dans le gouffre qui lui a servit de sorti, et là, une explosion souleva légèrement la terre et la fissura. À croire qu’il y avait assez de gaz seulement pour provoquer un incendie dû à une petite explosion.
« Un si beau feu, dommage que je n’ai pu garder quelqu’un. » C’était cette phrase qui avait été lancée pendant un hiver de 1931, devant de la fumée qui sortait de terre. C’était un personne de taille moyenne qui l’avait dît, ressemblant à quelque qui n’avait que 16 ans et à l’identique d’un scientifique avec sa blouse blanche. Une explosion d’obus et tout a été effacé, Yoshizumi avec…
ALMIA
Toute été…si froid ? Yoshizumi ouvrit les yeux et vu qu’il était sur une barque, voguant sur un fleuve. Arrivé à terre, il a été forcé de descendre et de regarder la barque s’en aller d’un une brume pesante. Quel pouvait être ce lieu ? Il n’en savait rien, et sans savoir comment ni pourquoi, il a été prit comme servant au Manoir d’une certaine Byakûya. Qu’importe, Yoshizumi ne la voyait pas comme sa propriétaire mais travaillait quand même au manoir.
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Lun 29 Déc - 22:06
